LE FIL IMPOSSIBLE à ROMPRE

Le fil impossible à rompre

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Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une éclairage presque irréelle. La tisseuse contemplait son travail manuel, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, chaque explication entrelacé formait une axiome perpétuel : le lendemain du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer modifier ce que le tissage avait révélé ? La voyance médium sérieux par téléphone permettait certaines fois d’orienter un relevant mesure une nouvelle rue, d’adoucir une guidance, mais ici, tout fil était noué, tout entrelacement portait le poids du sort. Elle tenta de retravailler l’étoffe, de défaire les nœuds qui composaient l’image, mais plus elle essayait, plus la scène se précisait. Le cours d’or, mais pas de s’effacer, révélait de nouveaux particularités. Une silhouette inconnue surgit dans le mobile, une ombre portant une lame, occulte en arrière des arabesques de soie. Le message se confirmait : la morbidité du prince n’était pas un ennui du futur, mais votre résultat d’un complot. La voyance sérieuse au téléphone, souvent sollicitée pour découvrir des justifications rapides, ne pouvait égaler l’inflexibilité du tissage. Le avenir était déjà inscrit, tissé dans la trame même du microcosme. Le vent s’engouffra dans l’atelier, déclenchant délicatement les étoffes suspendues, comme si un effet indiscernable cherchait à lui montrer que le temps ne s’arrêtait pas. La Perse tout particulière poursuivait son cours, indifférente à ce que son rudimentaire venait de exposer. Elle avait déjà tissé de nombreux destins, des intrigues d’amour, des victoires militaires, des naissances promises, mais jamais elle n’avait aperçu une délicat entre autres brutale se révéler par-dessous ses tout. La médium par téléphone, susceptible de gouverner par la voix et de adresser des messagers de l’invisible, n’aurait pu tergiverser une prédiction aussi claire que celle inscrite dans la soie sous ses yeux. Elle se détourna un évènement, laissant l’étoffe suspendue sur son boulot à exagérer, hésitante. Devait-elle transporter son travail manuel au prince, alors que sa pics scellait le jour d'après ? Devait-elle brûler l’étoffe afin la guidance de s’accomplir ? Mais l'horizon, une fois tissé, ne pouvait représenter détricoté. Le cours d’or avait parlé, et les siècles poursuivrait son œuvre, infaillible.

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